Bienheureuse es-tu maman.
Nous t’aimons, Marie Poussepin, oui, nous t’aimons.
Tu es notre Mère, Marie Poussepin.
Fille de Claude et de Julienne, nous t’aimons.
Tu as écouté la voix de Dieu, tu as accueilli sa Parole et tu as fait sa volonté :
En quittant ta ville natale,
En soignant les malades,
En aidant les veuves,
En essuyant les larmes des orphelins,
En instruisant la jeunesse,
Tu as dépensé toute ta fortune pour secourir les pauvres, maman.
Bienheureuse es-tu, vaillante guerrière.
Par ton zèle tu combattis l’ignorance.
Avec abnégation tu fis reculer ses frontières.
Tu fus pour les orphelins un vrai visage de mère.
Par ton travail, tu réduisis la misère, Apôtre de la Charité.
Le monde entier parlera de toi.
Le ciel est au courant de toi.
Les Américains parlent de toi.
Les Européens parlent de Marie Poussepin.
Ceux de l’Asie parlent de Marie Poussepin.
En Océanie, c’est Marie Poussepin.
Les Africains parlent de Marie Poussepin.
Sœurs africaines, saluons notre Mère.
Debout, les Burkinabès, dites-lui merci.
Ivoiriens, saluez la Bienheureuse.
Allez, les Camerounais dites merci.
Enfants de Tchad dites-lui sincères merci.
Fils du Togo remerciez-la.
Que les Congolais disent : Bienheureuse es-tu.
Humble, pieuse et charitable, merci, merci.